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De l'intérêt de bien choisir sa dépanneuse...

  • aphikit
  • 2 juin 2017
  • 2 min de lecture

Le contacteur et moi : épisode 2.

Vous m'aviez laissée suante dans ma voiture immobilisée sur un parking.

Grandpa étant venue me chercher, je suis rentrée chez moi en abandonnant lâchement ma pauvre titine. En même temps, personne ne risquait me la prendre...

J'ai contacté mon garagiste qui l'attendait de pied ferme dès que je l'aurais faite remorquer chez lui. L'assurance, très efficace, m'a envoyé une dépanneuse. Celle-ci m'a prévenue de l'heure du remorquage afin que je sois évidemment présente sur les lieux au moment requis.

A l'heure dite, je suis retournée au chevet de ma voiture. Le dépanneur, vraiment sympa et pro, m'y attendait. Après une demi-heure de tentatives infructueuses pour la faire démarrer (batterie notamment qui fonctionnait très bien), il s'est inquiété de ne pas pouvoir déplacer ma voiture du fait de son inertie et de l'étroitesse des allées du parking.

De fait, son véhicule avait besoin de se placer devant ma voiture mais il ne pouvait pas. La place en face aurait dû être libre, ce qui n'était bien sûr pas le cas.

Le dépanneur a donc téléphoné à un collègue muni d'une dépanneuse compacte qui pouvait charger et remorquer ma Clio dans un espace restreint.

J'avoue que cela aurait pu être réfléchi auparavant, lors de l'envoi de la première dépanneuse car je n'avais rien caché de la position de ma voiture.

Le deuxième dépanneur, toujours sympa et pro est arrivé un bon quart d'heure plus tard. Et il faisait toujours chaud au soleil...

Il a recommencé toutes les tentatives de démarrage malgré les explications de son collègue. Et c'est environ une demi-heure plus tard, sur les mêmes échecs, qu'il a chargé (très aisément cette fois) mon véhicule.

Et nous sommes finalement partis chez le garagiste, plus d'une heure s'était écoulée (toujours sous le chaud soleil, bla bla vous avez compris).

Le garagiste a commandé la pièce, cette petite chose électronique qui débloque la colonne de direction et qui ne contactait plus. Plusieurs centaines d'euros, sans compter la main-d'oeuvre, l'immobilisation de 24 h (le garage a été super rapide pour obtenir la pièce et dépanner la voiture)...

Cette pièce n'aurait pas dû tomber en panne si vite, en moins de 4 ans de vie de ma voiture, bien entretenue qui plus est. Et le service client Renault a donc eu la délicatesse de prendre la quasi-totalité de la facture à sa charge, à notre grand bonheur.

A quoi bon avoir une voiture presque neuve si c'est pour subir ce genre de pannes, se dit-on alors. Et le fabricant était visiblement de notre avis.

Enfin quelle aventure ! Mais tout est bien qui finit bien.

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